Par Nathanaël Dos Reis
Lorsque Nathanaël Dos Reis m’a demandé de faire une préface à son article sur les écus que lui et les membres de son association avaient reconstitués, j’ai d’abord été honoré : j’acceptais avec plaisir. C’était une erreur ! Une préface n’est pas un exercice facile et elle tire trop souvent à l’autocongratulation des uns ou des autres. Pourtant, il ne m’apparaît pas entièrement malhonnête ici de rappeler que la démarche entreprise par l’association De Gueules et d’Argent se rattache à une recherche plus vaste, visant à redécouvrir le combat féodal. Puissent les lecteurs me pardonner les allusions qu’ils jugeront trop personnelles. J’ai essayé de mettre en avant la discipline, au-delà des recherches conduites dans le cadre de ma thèse de doctorat…
La redécouverte du combat féodal est une problématique complexe. D’ailleurs, le simple terme de « féodal », qui définit ici un ensemble vaste de formes d’affrontement, appellerait un commentaire plus conséquent. Convenons ici qu’il s’agit de l’Occident des XIe-XIIIe siècles… Cette complexité amène à se focaliser préalablement sur les constantes du matériel et des positions d’une époque étendue d’à peu près trois cent ans. En effet, comment envisager d’étudier le geste d’une source ou d’une période précise sans envisager sa tradition de représentation ? Pourquoi, à un moment où il n’y a pas encore de documents techniques sur le geste martial (les livres d’armes n’apparaissant qu’au XIVe siècle, pour ceux qui nous sont parvenus), ne pas exploiter l’ensemble du corpus pour mieux percevoir les mécaniques générales du combat à l’épée et à l’écu ?
Pourtant, cette approche n’est pas sans risque, notamment pour appréhender les caractères évolutifs ou les particularités géographiques. Mais, malgré toutes les limites qu’elle pouvait susciter, c’est celle que j’ai choisi il y a plus de dix ans : à ce moment-là, les AMHE n’étaient qu’à leur balbutiement et l’on n’envisageait pas encore de logique martiale pour les XIe-XIIIe siècles. Les plus anciens s’en souviendront ; et les plus jeunes diront qu’on a fait n’importe quoi ! Ils n’auront peut-être pas tort…
Les membres de l’association De Gueules et d’Argent sont de ces jeunes reconstituteurs, quoiqu’ils ne m’aient jamais dit que je m’égarais. Ce sont des gens polis ! Nous nous sommes rencontrés pour la première fois en 2014 (pour le huitième centenaire de la bataille de Bouvines) et ils m’ont questionné peu après – fort courtoisement, chevalerie oblige – sur l’écu à l’époque qu’ils reconstituaient fort précisément (la génération au tournant des XIIe-XIIIe siècles). Parallèlement, à ce moment-là, je commençais à toucher aux limites de l’approche généraliste : j’avais pu définir suffisamment de constantes pour voir apparaître un système d’affrontement relativement cohérent. Leur volonté de reproduire le matériel à une date particulière, tout en poursuivant leur formation martiale au cours de stages que je conduisais, s’est donc avérée être une aubaine pour amener à une meilleure compréhension des mécaniques du bouclier féodal et de son évolution.
Leur travail a été conduit de façon autonome et avec un sérieux exemplaire. À la lecture de leur article, je constate avec plaisir combien ils ont, non seulement, atteint leur objectif de mieux comprendre le matériel du combattant entre 1175 et 1230, mais qu’ils l’ont de surcroit dépassé ! Les échanges que nous avons eus régulièrement, tant sur les stages que par correspondances, permettent de rattacher leur approche à la compréhension de l’ensemble des combats de l’époque féodale. Au-delà de cette problématique qui m’intéresse particulièrement, c’est leur sens du partage – dont vous pourrez mesurer concrètement la portée par le texte ci-dessous –, qui est à souligner. Elle permet de faire avancer la connaissance de la passion de nombreux médiévistes !
Merci à vous, membres de De Gueules et d’Argent pour cela. J’espère que vos lecteurs aimeront ce texte et en apprécieront les apports autant que moi.
Bonne lecture à tous !
GILLES MARTINEZ
Il y a trois ans, quand nous avons décidé de confectionner nos équipements militaires, s’est posé la question du bouclier. Quelle forme à la fin du XIIe, début du XIIIe siècle ? Que prendre comme matériaux ? Avec quoi les recouvrir ? Faut-il les peindre ? Nous avons commencé nos recherches et étudié les sources à notre disposition. Mais la question du positionnement des énarmes ne nous a que très peu effleuré l’esprit. Ainsi, à la lecture des forums mais aussi de nos propres idées reçues, issues essentiellement de la culture populaire, nous avons réalisé des énarmes comme on peut en voir beaucoup dans le monde de la reconstitution, à savoir : une énarme d’avant-bras (c'est-à-dire une sangle qui maintient l’avant-bras du porteur) et une poignée. Nous avons rajouté une guiche (ou guige), cette sangle qui passe autour du cou du porteur, est visible sur la très grande majorité des représentations de combattants pour notre période (fin XIIe-début XIIIe s.).
Après quelques temps d’utilisation, nous nous sommes posés quelques questions : A quoi sert réellement la guiche si nous avons des énarmes d’avant-bras qui permettent déjà de porter le bouclier ? Sert-elle uniquement au transport ? Ou bien sert-elle à maintenir le bouclier en place quand on l’utilise ? Dans ce cas-là, à quoi servent les énarmes d’avant-bras ?
Enfin, nous nous sentions « serrés », gênés par cette guiche qui semblait trop nous limiter dans nos mouvements.
Nous avons posé toutes nos questions à Gilles Martinez lors d’un stage en 2015. Gilles nous a indiqué une piste : sur les sources de la fin du XIIe au début du XIIIe siècle, les représentations d’énarmes d’avant-bras sur les boucliers seraient marginales. On trouverait davantage de représentations montrant uniquement une guiche et une poignée. Bien que trouvant cela étonnant, nous avons commencé nos investigations. Après deux ans d’enquête, de tâtonnement et d’expérimentation, nous vous livrons nos recherches. N'hésitez pas à cliquer sur les images pour les voir en meilleure résolution et avoir accès aux sources.
Les sources montrant avec précision l’intérieur des boucliers sont assez rares. Malgré tout, on arrive à en trouver quelques représentations : enluminures, sculptures, fresques, vitraux, mosaïques…
Nous avons choisi d’ouvrir le champ de nos investigations au début du XIIe siècle afin de mieux pouvoir appréhender l’évolution des énarmes. Nous nous sommes arrêtés aux années 1240 qui semblent marquer un tournant (de plus en plus de représentations d’énarmes d’avant-bras corrélées à la diminution des représentations de guiches). Les sources choisies viennent de l’Europe occidentale : St-Empire Romain Germanique, provinces d’Italie (nous rappelons que nous étudions la Savoie de la fin du XIIe siècle qui constitue alors un important carrefour connecté à ces régions), royaumes de France et d’Angleterre, régions scandinaves. L’Espagne n’a été regardée que pour savoir si des points communs existaient.
La première chose qui apparaît c’est la représentation quasi-systématique de la guiche pour les combattants, qu’ils soient à pied ou à cheval, en combat ou non [Fig. 1 à 10]. Premier constat, la guiche ne sert donc pas uniquement à maintenir le bouclier pour les cavaliers, elle semble être utilisée à pied par les soldats. De plus elle semble avoir une réelle utilité durant le combat, et ne sert donc pas seulement au transport du bouclier.
Les sources montrent une grande majorité de boucliers semblant être seulement munis d’une poignée et d’une guiche [Fig. 11 à 14]. La représentation de bouclier possédant en plus une énarme d’avant-bras est relativement faible. D’autres montages semblent également coexister, comme nous le verrons à la fin de cet article.
D’aucuns invoqueraient une quelconque méconnaissance du matériel martial de la part des enlumineurs. N’oublions pas que ces derniers sont souvent issus de familles nobles et ont donc côtoyé des soldats. De plus, comme l’a montré P. Contamine (La Guerre Moyen-Âge, Collection nouvelle Clio, l'Histoire et ses problèmes. Presses universitaires de France, 1999 p.176, p.185-186), au XIIe- XIIIe siècle, les monastères ne sont plus coupés du monde. Ils sont le cœur de seigneuries ecclésiastiques, possédant leurs propres soldats pour assurer la sécurité de leur domaine (Edouard Audouin, Essai sur l’Armée Royale au temps de Philippe Auguste, Champion, Paris, 1913). Enfin, est-il encore nécessaire de rappeler la présence de chevaliers âgés venus finir leurs jours dans la paix du Christ au sein des monastères ? Nous sommes persuadés au vu de la précision des descriptions, que les moines enlumineurs avaient la possibilité de voir, d’étudier ou de se faire conseiller les sujets militaires qu’ils dessinaient. Bien sûr, ils ne sont pas à l’abri d’erreurs, d’approximations ou de fantaisies. Mais face à la récurrence de la représentation de l’association guiche + poignée seule, nous ne pouvons pas balayer d’un revers l’ensemble de ces sources. Il faut dépasser nos préjugés et expérimenter pour aborder le maniement du bouclier au tournant des années 1200 par la reconstitution du matériel.
En analysant les sources qui concernent seulement le système guiche + poignée, il semble que plusieurs montages soient possibles. Les points d’attaches de la guiche sont positionnés différemment d’une source à l’autre. Nous avons opté pour le système d’attache qui nous semble le plus représentatif entre 1175 et 1220 dans le St-Empire Romain Germanique et en Italie du Nord [Fig. 15 à 20] :
La poignée du bouclier se situe généralement dans le tiers supérieur droit du bouclier, mais sa position semble fluctuer entre le coin supérieur et quasiment jusqu’au centre.
Sur ces représentations, la guiche se positionne d’une part à droite, au niveau de la poignée (légèrement au-dessus, à son niveau, ou légèrement en dessous). Nous avons pris le parti de fixer la nôtre légèrement en dessous de notre poignée.
D’autre part, le second point d’accroche de la guiche semble pouvoir se situer sur la partie opposée de la poignée, dans le tiers supérieur gauche du bouclier. Cette hypothèse est soutenue par la représentation d’intérieur d’autres boucliers [Fig. 21 à 24].
Voici en photo l'intérieur d'un de nos bouclier. Le système de maintien est composé d'une sangle qui passe autour du cou (la guiche) et d'une poignée "en croix", à l'instar de ce que l'on peu voir sur le manuscrit de l'Eneit [Fig. 25].
Étonnamment, « l’absence » d’énarme d’avant-bras ne diminue pas la stabilité du port du bouclier qui est parfaitement maintenu par la guiche. La poignée sert à orienter le bouclier et non à le porter. Le poids de l’écu est donc soutenu par l'épaule du porteur (grâce à la guiche) et non par son bras. La guiche doit être adaptée au porteur pour qu'en position relâchée, la tranche haute du bouclier arrive au niveau de l’épaule voire légèrement au-dessus. Comme la guiche est l’unique élément qui permet de maintenir le bouclier, il faut donc que le cuir utilisé pour sa fabrication soit solide. Si cette sangle venait à rompre, le combattant se trouverait en bien mauvaise posture avec une grande difficulté à utiliser son bouclier de manière efficace.
Le bouclier reste assez près du corps. La guiche ne nous permet pas de pouvoir « envoyer » la tranche de l’écu loin en avant. Cela nous semble être confirmé par les représentations liées à ce système où les porteurs ont leurs bras plié en angle droit. Nous n’avons pas vu de représentation de bras tendu avec un bouclier lorsqu’il y a une guiche. En revanche, nous l’avons vu sur des systèmes différents (sans guiche) [Fig. 26 et 27]. Il a fallu adapter notre façon de combattre avec ce système, de prime abord moins offensif. La main du bouclier reste bien en avant, vers le milieu de notre corps à la manière d’un boxeur en garde haute.
N'étant pas entravée par une seconde énarme de bras, la main du bouclier peut se libérer très rapidement.
Sur des enluminures germaniques [Fig. 28 à 30], on voit des combattants prendre leur épée avec les deux mains, bouclier dans le dos. Certains y ont vu une proto-escrime à deux mains. Hors, quand on étudie attentivement ces illustrations, on se rend compte que leur adversaire est soit à terre, soit en mauvaise posture. De notre point de vue, il s'agit d'une prise puissante à deux mains, destinée à porter un coup décisif sur un adversaire déjà en difficulté.
Sur le manuscrit de l’Eneit, nous avons deux enluminures qui se suivent [Fig. 31]. Nous y voyons les deux mêmes combattants dans deux positions différentes : sur la première illustration ils sont en garde. Sur la deuxième le combattant de gauche porte son bouclier dans le dos, et assène un coup à deux mains sur le heaume de son adversaire. Ce dernier, bouclier dans le dos également, soulève le haubert du premier pour y glisser son épée par dessous. Il faut bien comprendre que nous avons là deux scènes d’un même combat. Les adversaires ont dû passer d’une position avec le bouclier en main, au bouclier dans le dos de manière fluide et quasi-instantanée.
Ce n’est pas possible avec un système d’énarmes d’avant-bras. Ce dernier reste coincé dans la sangle, et a du mal à en sortir rapidement. En revanche avec le système d’attaches que nous expérimentons, nous avons pu réaliser cet enchaînement lors de combats en situation. L'avant-bras n'est pas gêné par une sangle, il suffit d'ouvrir la main pour lâcher l'écu. Le bouclier passe alors très vite dans le dos, et on peut empoigner son épée à deux mains. Ce système nous offre certaines clés de compréhension sur l’enchaînement représenté dans l’Eneit.
Nous vous le présentons sur une petite vidéo de mise en situation. Nous n’avons pas voulu faire de chorégraphie de combat, aussi nous avons mis directement l’adversaire à genoux comme sur l’enluminure de l’Eneit. Sur la vidéo, il reste immobile car le propos n’est pas sur le combat, mais sur l'enchaînement entre bouclier tenu, et bouclier dans le dos.
La possibilité de libérer sa main du bouclier et d’envoyer l’avant-bras ouvre tout un champ de possibilités notamment pour les entrées en lutte. Nous en avons un exemple sur l’enluminure germanique du Speculum Virginum [Fig. 32] où le combattant de gauche empoigne le bras droit de son opposant, l’empêchant de porter un coup.
De plus, lors d’une entrée en lutte où l’adversaire empoigne le bouclier pour le retourner, le bras ne se trouve pas emporté par l’écu car il suffit d’ouvrir la main pour se dégager facilement.
On trouve beaucoup de représentations d’écu dans le dos (même par des cavaliers). Il est souvent porté haut, et l’on voit la tranche haute du bouclier derrière le dos du porteur. La guiche passe soit autour du cou, soit sous le bras gauche [Fig. 33 à 37].
De même, Bernard Martini rapporte que dans les textes du XIIe et du XIIIe siècle, il est fait mention d’écus portés ou suspendus au cou plutôt qu’au bras : « Par exemple dans la Vie de Saint Louis, Jean de Joinville fait mention par quatre fois du port d’un écu et ces quatre fois, l’écu est « au-cou ». Autre exemple dans Lancelot du Lac, texte français rédigé autour de 1225, sur vingt-et-une occurrences, dix-sept concernent un écu « au cou », « suspendu au cou » ou encore « autour du cou ».
Avec ce système, il est possible de reprendre son bouclier en main très facilement. D’un simple coup d’épaule, le bouclier repasse devant et il suffit d’en attraper la poignée. Nous vous le présentons sur cette autre vidéo. Le passage de bouclier dans le dos à bouclier en main se fait fluidement et rapidement.
Sur une enluminure du manuscrit Psalmenkommentar mit Bilderzyklus zum Leben Davids [Fig. 38], nous voyons un groupe de soldats fuir, le bouclier dans le dos. Celui-ci les protège d’éventuels coups de leurs poursuivants. On remarque qu'un soldat tient la guiche de sa main libre, certainement pour maintenir son bouclier contre lui ou pour le remonter un peu plus haut, vers son cou.
Un autre manuscrit nous montre également un groupe de soldat fuir [Fig. 39]. Sur la partie droite de l'enluminure, David vient de trancher la tête de Goliath et les Philistins fuient devant lui. Les fuyards ont de nouveau mis leurs boucliers dans le dos.
N’étant pas cavaliers nous-mêmes, nous ne pouvons que proposer nos observations de sources afin d’ouvrir tout un champ d’exploration et d’expérimentation à qui le souhaite.
De nombreuses enluminures montrent que ce système est aussi utilisé par des cavaliers. Il semble néanmoins y avoir une différence : la poignée est beaucoup plus grande. Visiblement, cela permet au cavalier de passer son bras au travers pour tenir les rênes. Sur d'autres enluminures, en situation d’affrontement, le cavalier tiens la poignée avec sa main en plus des rênes. Est-ce la représentation d'un autre système toujours sans énarmes d'avant-bras ? Ou est-ce que le cavalier retire son bras qui était auparavant passé dans la poignée, afin de la saisir avec sa main ? Pourquoi ? Pour mieux maintenir son écu en cas de choc ?
Il semble que l’on retrouve le même système d’attache sur des combattants à pieds comme à cheval (la différence étant la taille de la poignée comme dit précédemment). Le cavalier pourrait donc toujours utiliser son bouclier s'il devait se retrouver à terre.
Nous avons demandé à Baptiste Bauer de tester nos hypothèses durant l’édition 2016 de Tournoi XIII. D’après ses dires, l’expérience semble convaincante, le bouclier reste stable en passant son bras au travers de la poignée. De plus il nous a fait remarquer qu’il était plutôt aisé de retirer son bras pour attraper la poignée avec sa main si nécessaire.
Nous n'avons pas la prétention de dire que le système que nous avons présenté est le seul, unique et valable. Ce système que nous testons et expérimentons depuis 2015 n’en est qu’un parmi d’autres. On continue de le retrouver sur des sources jusqu’à la fin du XIIIe siècle, mais de façon plus diffuse.
A la lecture des sources, il existe d’autres manières de fixer la guiche, la poignée. La guiche peut être positionnée symétriquement sur la tranche haute du bouclier, la poignée peut également être placée plus bas, ou plus au centre…
Il existe des représentations de boucliers avec une énarme d’avant-bras, mais il ne semble pas y avoir de guiche dans ce cas-là. Enfin, certaines représentations nous laissent voir la position de la poignée, mais nous ne pouvons pas en déduire les points d’attaches de la guiche, ni même la présence d’énarme d’avant-bras.
Même si le système d'énarmes guiche seule + poignée nous semble être celui qui soit le plus représenté au XIIe, XIIIe siècle, il n’existe pas UNE manière de faire. Autant de pistes à explorer et à expérimenter. Nous vous livrons ci-dessous ces autres sources que nous avons croisées au cours de nos recherches.
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smolak cyril (lundi, 10 juin 2019 15:51)
Tout simplement génial, félicitation pour ces recherches très très très intéressantes
marseille eric (vendredi, 23 août 2019 13:29)
Superbe , sincères félicitations
Marc A (mardi, 17 septembre 2019 20:04)
Fascinant, franchement. Bravo !
Marc Dagand (mardi, 25 février 2020 19:26)
Que dire que c'est un article superbe, détaillé, sourcé et ce que j'apprécie avant tout c'est vôtre esprit de partage.
De l'histoire vivante de haut niveau.
Bravo à tous
Denis Reitmayer (mercredi, 26 février 2020 16:30)
Merci a vous pour ce superbe travail de recherche ainsi qu'à la retranscription détaillée, comme Marc Dagand j'apprécie votre esprit de partage..
Dehandschutter François (dimanche, 01 mars 2020 10:30)
Remarquable travail de recherche , superbe documentation ,en un mot félicitations messieurs .
Le Carvès Teddi (mardi, 21 avril 2020 11:15)
Très bon travail de recherche et de restitution. Cet article me sera bien utile lors de la réalisation future de mon bouclier !
Merci beaucoup et bonne continuation !